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Nous sommes la presse pas pareille !

Libres, indépendants, alternatifs… Pas facile de s’y retrouver ! Le journal L'Age de Faire publie chaque année une carte qui regroupe les médias de la « presse pas pareille », une expression lancée par le journal Le Ravi, basé à Marseille, pour définir des journaux non inféodés aux pouvoirs politiques et économiques. (Re)bonds a été sélectionné et figure sur la carte !
Voici les critères définis par l'équipe de L'Age de Faire pour y figurer :

  • ces médias produisent essentiellement du contenu écrit, sur papier ou en ligne ;
  • ils n’appartiennent à aucun groupe industriel, financier, ni à aucun mouvement politique, syndical ou religieux ;
  • ils sont détenus par leurs salarié·es, leurs lecteurs et/ou une association ;
  • professionnels ou bénévoles, ils mènent une véritable démarche d’information, sans se cantonner à l’expression d’opinions ;
  • ils sont favorables à une société plus juste et solidaire, sans exclure aucune catégorie de personnes ;
  • la publicité n’occupe pas plus de 10 % de leurs pages.

Recherche et coordination : Lisa Giachino – Clément Villaume pour la mise à jour 2022
Infographie papier et carte interactive web © Lydia Robin
Fond de carte de France © Fanny PAGEAUD
Icônes papier et web © Maya Naruse

Cliquez sur la carte pour qu'elle s'agrandisse et pour zoomer sur les icônes.

  • Photo de couverture

    Le Syndicat de la Presse Pas Pareille, un acteur sur lequel compter

    Le Syndicat de la presse pas pareille (SPPP) est lancé et vous invite à visiter son site Internet : www.syndicatdelapressepaspareille.org

    Réfléchi lors des Assises de la Presse Pas Pareille, le SPPP souhaite promouvoir les médias indépendants, créer une dynamique collective entre rédactions et porter des revendications politiques et économiques. Le SPPP défend une presse émancipatrice, contre toutes formes de domination.

  • Photo de couverture

    Etats généraux de l’information : la peur de son ombre

    Lancé il y a onze mois par l’Elysée, ce grand chantier sur le droit à l’information a pris fin le 12 septembre. Résultat : quinze timides propositions du « comité de pilotage », souvent éloignées des rapports des groupes de travail beaucoup plus intéressants. Cette volonté de ne bousculer ni les pouvoirs politiques ni les oligarques des grands médias privés laisse peu de place à la défense d’un journalisme indépendant.

  • Photo de couverture

    Front National ou front populaire, la presse libre a fait son choix

    Le Syndicat de la Presse Pas Pareille, a-partisan mais foncièrement politique, tient à clarifier ces positions dans le contexte des prochaines législatives. Il souhaite également condamner l'appareil médiatique dominant qui a participé à rendre cette situation possible.

  • Photo de couverture

    59 propositions pour libérer l'information

    En réponse à l’initiative présidentielle d’États généraux de l’information, qui suscitent désaccords et inquiétudes dans la profession, le Fonds Pour une Presse Libre (FPPL) a proposé de lancer des États généraux de la presse indépendante. Le 30 novembre à Paris, une centaine de médias, associations, syndicats, collectifs, se sont ainsi réunis, afin de produire des propositions concrètes et adaptées aux enjeux d'une information libre et indépendante : propriété des médias, droits des journalistes, réformes des aides publiques, lutte contre la précarisation des journalistes, plateformes (GAFAM) et intelligence artificielle. Ces propositions seront bientôt défendues à l'Assemblée nationale. Elles sont également présentées partout en France lors de réunions publiques ouvertes à tous.tes.